Kyusho Jutsu
La connaissance des points vitaux en de l’energie interne
Kyusho jutsu est le terme Japonais provenant du Chinois Dim Mak ce qui veut dire littéralement : « touche mortelle ».
C’est une étude basée sur la théorie de l’acupuncture et le functionnement de l’energie interne.
Les vieux maîtres découvraient qu’en touchant des points bien spécifique sur le corps, dans une ordre bien définie, la bonne direction, l’angle exacte en la juste intensitée, ils obtenaient une reaction spécifique du corps de l’adversaire.
Certaines de ces combinaisons de points arrivaient même à neutraliser une partie ou même le corps entier de façon temporaire. Il y en a même qui sont aptes d’éliminer la personne définitivement. (D’où le nom)
Bien conscient du danger de leur connaissance et de leur pouvoir, les maîtres avaient peur que leurs techniques tombent dans des mauvaise mains. D’où ils décidèrent de les cacher dans des katas ou des exercices de style.
Bien entendu que la connaissance n’est pas resté exclusivement en Chine. Les maîtres voyagèrent et partageaient leur art avec leurs élèves. Comme ça le secret du Dim Mak atteindrait Okinawa, le Coré, le Japon et d’autres pays. Par conséquent ils furent intégrez dans les arts martiaux pratiquées dans ces pays, comme la karate, le ju jutsu, l’aikido, etc. Les maîtres de ces disciplines appréciaient d’avantage ces secrets puisque ils rendait leurs techniques encore plus efficace avec moins de force physique.
Mais hélas, la temps à fait sont travail et beaucoup des secrets cachées dans les techniques ont disparu avec les maîtres. D’autant plus que, vu que ces pays étaient souvent en guerre, les maîtres n’aimaient pas que leurs secrets tombait dans les mains de l’ennemi. Alors ils transformaient souvent leurs techniques ou les dissimulaient et introduisaient consciemment des fautes afin de tromper ce dernier.
Le résultat en est que beaucoup de connaissance c’est perdue.
Heureusement il a des maîtres contemporain (surtout Occidentaux) qui, grâce à des recherches approfondi, ont réussi à reconstituer une grande partie de la connaissance perdue. Grâce à eux le pratiquent d’art martiaux d’aujourd’hui ce respectent lui même, à la possibilité de revaloriser sont art avec les secrets des ancien maîtres : de Dim Mak ou le kyusho.
Mais il y a plus : ils ont découvert qu’il y à une forte similitude entre la théorie sur l’acupuncture Orientale et la science neurologique Occidentale. Apparemment, touts les points d’acupuncture ce trouvent sur des bifurcations de nerfs.
Ceci implique que, parallèlement à la logique Orientale du kyusho, il existe une logique neurologique Occidentale qui est aussi valable que celle de l’orient. Seulement cette dernière est plus compréhensible pour les pratiquants Occidentale et par conséquence plus facile à appliquer.
Theo De Gelaen est un scientifique qui a étudié la médicine Orientale pendant 20 ans. Il est même maître dans l’ancien art du Qi Gong. En Occident, il étudiait la psychologie appliquée, la neurologie et la neuropsychologie et c’est spécialisé dans la physique quantum. Ceci en combinaison avec une pratique de 25 ans dans les arts martiaux, lui à permis de trouver une bonne concordance des deux logiques dans son propre système : EWS = East West System.
Ce système rend le kyusho et le Dim Mak accessible pour tout le monde, n’importe la discipline dans les art martiaux.
En plus l’EWS intègre le Qi gong en le Fa jin (transmission d’énergie cinétique), ce qui rends les techniques d’avantage plus efficace et applicable avec une force physique minimale. Ce qui nous permets de continuer à pratiquer notre art même à un age avance.
C’est un bon exemple de la force de la connaissance grâce à la connaissance de la force.
heu antoine tu ve buter ki la![]()
La connaissance des points vitaux en de l’energie interne
Kyusho jutsu est le terme Japonais provenant du Chinois Dim Mak ce qui veut dire littéralement : « touche mortelle ».
C’est une étude basée sur la théorie de l’acupuncture et le functionnement de l’energie interne.
Les vieux maîtres découvraient qu’en touchant des points bien spécifique sur le corps, dans une ordre bien définie, la bonne direction, l’angle exacte en la juste intensitée, ils obtenaient une reaction spécifique du corps de l’adversaire.
Certaines de ces combinaisons de points arrivaient même à neutraliser une partie ou même le corps entier de façon temporaire. Il y en a même qui sont aptes d’éliminer la personne définitivement. (D’où le nom)
Bien conscient du danger de leur connaissance et de leur pouvoir, les maîtres avaient peur que leurs techniques tombent dans des mauvaise mains. D’où ils décidèrent de les cacher dans des katas ou des exercices de style.
Bien entendu que la connaissance n’est pas resté exclusivement en Chine. Les maîtres voyagèrent et partageaient leur art avec leurs élèves. Comme ça le secret du Dim Mak atteindrait Okinawa, le Coré, le Japon et d’autres pays. Par conséquent ils furent intégrez dans les arts martiaux pratiquées dans ces pays, comme la karate, le ju jutsu, l’aikido, etc. Les maîtres de ces disciplines appréciaient d’avantage ces secrets puisque ils rendait leurs techniques encore plus efficace avec moins de force physique.
Mais hélas, la temps à fait sont travail et beaucoup des secrets cachées dans les techniques ont disparu avec les maîtres. D’autant plus que, vu que ces pays étaient souvent en guerre, les maîtres n’aimaient pas que leurs secrets tombait dans les mains de l’ennemi. Alors ils transformaient souvent leurs techniques ou les dissimulaient et introduisaient consciemment des fautes afin de tromper ce dernier.
Le résultat en est que beaucoup de connaissance c’est perdue.
Heureusement il a des maîtres contemporain (surtout Occidentaux) qui, grâce à des recherches approfondi, ont réussi à reconstituer une grande partie de la connaissance perdue. Grâce à eux le pratiquent d’art martiaux d’aujourd’hui ce respectent lui même, à la possibilité de revaloriser sont art avec les secrets des ancien maîtres : de Dim Mak ou le kyusho.
Mais il y a plus : ils ont découvert qu’il y à une forte similitude entre la théorie sur l’acupuncture Orientale et la science neurologique Occidentale. Apparemment, touts les points d’acupuncture ce trouvent sur des bifurcations de nerfs.
Ceci implique que, parallèlement à la logique Orientale du kyusho, il existe une logique neurologique Occidentale qui est aussi valable que celle de l’orient. Seulement cette dernière est plus compréhensible pour les pratiquants Occidentale et par conséquence plus facile à appliquer.
Theo De Gelaen est un scientifique qui a étudié la médicine Orientale pendant 20 ans. Il est même maître dans l’ancien art du Qi Gong. En Occident, il étudiait la psychologie appliquée, la neurologie et la neuropsychologie et c’est spécialisé dans la physique quantum. Ceci en combinaison avec une pratique de 25 ans dans les arts martiaux, lui à permis de trouver une bonne concordance des deux logiques dans son propre système : EWS = East West System.
Ce système rend le kyusho et le Dim Mak accessible pour tout le monde, n’importe la discipline dans les art martiaux.
En plus l’EWS intègre le Qi gong en le Fa jin (transmission d’énergie cinétique), ce qui rends les techniques d’avantage plus efficace et applicable avec une force physique minimale. Ce qui nous permets de continuer à pratiquer notre art même à un age avance.
C’est un bon exemple de la force de la connaissance grâce à la connaissance de la force.
heu antoine tu ve buter ki la
le Kyusho Jutsu est ma seconde specialité..
je crois que Baptiste fera l'affaire![]()
je crois que Baptiste fera l'affaire
